
Avantages et inconvénients
1. Entreprise individuelle
- Avantages :
- Facilité de création et faible coût.
- Contrôle total par le propriétaire.
- Fiscalité simplifiée (imposition sur le revenu).
- Inconvénients :
- Responsabilité illimitée du propriétaire (biens personnels en jeu).
- Difficulté à lever des fonds.
- Forte dépendance au propriétaire (continuité de l'entreprise menacée en cas d'incapacité).
2. Association
- Avantages :
- Structure adaptée aux buts non lucratifs.
- Les membres ne sont généralement pas responsables des dettes de l'association.
- Possibilité d'obtenir des subventions ou des dons.
- Inconvénients :
- Impossibilité de distribuer les bénéfices aux membres.
- Structure administrative potentiellement lourde (assemblées, statuts).
- Sources de financement limitées.
3. Fondation
- Avantages :
- Buts spécifiques et durables (utilisation des biens pour des objectifs à long terme).
- Protection des biens de la fondation (affectés de manière irrévocable).
- Image favorable pour les activités philanthropiques.
- Inconvénients :
- Création plus complexe (notaire) et coûts de fonctionnement élevés.
- Impossibilité de modifier les objectifs une fois définis.
- Rigidité administrative (contrôle strict sur l'utilisation des fonds).
4. Société simple
- Avantages :
- Structure souple et informelle.
- Aucun capital minimum requis.
- Idéale pour des projets temporaires ou des collaborations ponctuelles.
- Inconvénients :
- Pas de personnalité juridique propre (les associés sont responsables sur leurs biens).
- Difficulté à lever des fonds ou obtenir des crédits.
- Faible crédibilité auprès des tiers.
5. Société en nom collectif (SNC)
- Avantages :
- Facilité de constitution.
- Possibilité de réunir plusieurs compétences et ressources.
- Les bénéfices sont imposés directement au niveau des associés.
- Inconvénients :
- Responsabilité solidaire et illimitée des associés.
- Les décisions doivent souvent être prises à l'unanimité.
- Risque pour le patrimoine personnel des associés.
6. Société anonyme (SA)
- Avantages :
- Responsabilité limitée au montant du capital apporté.
- Accès plus facile aux marchés financiers (émission d'actions).
- Image plus crédible pour les partenaires commerciaux.
- Inconvénients :
- Coûts de création et de fonctionnement élevés (min. CHF 100'000).
- Règlementations strictes (assemblées générales, rapports financiers).
- Moins de flexibilité dans la gestion comparé aux petites entreprises.
7. Société à responsabilité limitée (SARL)
- Avantages :
- Responsabilité limitée aux apports des associés.
- Structure adaptée aux PME (gestion plus souple que la SA).
- Possibilité de répartir les parts entre les associés.
- Inconvénients :
- Procédures administratives à respecter (assemblées, rapports).
- Coût de création plus élevé que pour une entreprise individuelle (min. CHF 20'000).
- Transfert des parts plus difficile (accord des autres associés souvent requis).
8. Société coopérative
- Avantages :
- Les membres partagent les bénéfices et les pertes.
- Structure démocratique (un membre, une voix).
- Peut bénéficier de subventions ou de soutiens publics.
- Inconvénients :
- Les décisions peuvent être longues à prendre (consensus nécessaire).
- Moins attractif pour les investisseurs, car les profits sont partagés.
- Gestion complexe si le nombre de membres est élevé.
9. Société en commandite
- Avantages :
- Possibilité d'attirer des investisseurs sans qu'ils soient impliqués dans la gestion.
- Les commanditaires ont une responsabilité limitée à leurs apports.
- Structure adaptée à certains types d'activités (investissements immobiliers, artistiques).
- Inconvénients :
- Responsabilité illimitée pour les associés commandités.
- Structure complexe à gérer.
- Les commanditaires n'ont généralement pas de droit de gestion.
- Facilité de création et faible coût.
- Contrôle total par le propriétaire.
- Fiscalité simplifiée (imposition sur le revenu).
- Responsabilité illimitée du propriétaire (biens personnels en jeu).
- Difficulté à lever des fonds.
- Forte dépendance au propriétaire (continuité de l'entreprise menacée en cas d'incapacité).
- Structure adaptée aux buts non lucratifs.
- Les membres ne sont généralement pas responsables des dettes de l'association.
- Possibilité d'obtenir des subventions ou des dons.
- Impossibilité de distribuer les bénéfices aux membres.
- Structure administrative potentiellement lourde (assemblées, statuts).
- Sources de financement limitées.
- Buts spécifiques et durables (utilisation des biens pour des objectifs à long terme).
- Protection des biens de la fondation (affectés de manière irrévocable).
- Image favorable pour les activités philanthropiques.
- Création plus complexe (notaire) et coûts de fonctionnement élevés.
- Impossibilité de modifier les objectifs une fois définis.
- Rigidité administrative (contrôle strict sur l'utilisation des fonds).
- Structure souple et informelle.
- Aucun capital minimum requis.
- Idéale pour des projets temporaires ou des collaborations ponctuelles.
- Pas de personnalité juridique propre (les associés sont responsables sur leurs biens).
- Difficulté à lever des fonds ou obtenir des crédits.
- Faible crédibilité auprès des tiers.
- Facilité de constitution.
- Possibilité de réunir plusieurs compétences et ressources.
- Les bénéfices sont imposés directement au niveau des associés.
- Responsabilité solidaire et illimitée des associés.
- Les décisions doivent souvent être prises à l'unanimité.
- Risque pour le patrimoine personnel des associés.
- Responsabilité limitée au montant du capital apporté.
- Accès plus facile aux marchés financiers (émission d'actions).
- Image plus crédible pour les partenaires commerciaux.
- Coûts de création et de fonctionnement élevés (min. CHF 100'000).
- Règlementations strictes (assemblées générales, rapports financiers).
- Moins de flexibilité dans la gestion comparé aux petites entreprises.
- Responsabilité limitée aux apports des associés.
- Structure adaptée aux PME (gestion plus souple que la SA).
- Possibilité de répartir les parts entre les associés.
- Procédures administratives à respecter (assemblées, rapports).
- Coût de création plus élevé que pour une entreprise individuelle (min. CHF 20'000).
- Transfert des parts plus difficile (accord des autres associés souvent requis).
- Les membres partagent les bénéfices et les pertes.
- Structure démocratique (un membre, une voix).
- Peut bénéficier de subventions ou de soutiens publics.
- Les décisions peuvent être longues à prendre (consensus nécessaire).
- Moins attractif pour les investisseurs, car les profits sont partagés.
- Gestion complexe si le nombre de membres est élevé.
- Possibilité d'attirer des investisseurs sans qu'ils soient impliqués dans la gestion.
- Les commanditaires ont une responsabilité limitée à leurs apports.
- Structure adaptée à certains types d'activités (investissements immobiliers, artistiques).
- Responsabilité illimitée pour les associés commandités.
- Structure complexe à gérer.
- Les commanditaires n'ont généralement pas de droit de gestion.